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MayakuDreams come true

C’est étrange pas vrai ? la façon dont une ville peut vous envoûter, malgré les histoires étranges qui s’y déroulent, malgré les quatre quartiers qui la divisent, malgré son passé trouble. Et pourtant … Bienvenue à Mayaku, la fascinante Mayaku.

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 We are the world ❧ Moira ; Umeko || 100%

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Dim 15 Nov - 2:10

Moira ìde O'Callaghan



Identité






Nom complet : Moira ìde O'Callaghan || Umeko Kanno
Date & lieu de naissance : 14.11.1983 ; Mayaku
Âge : 32 ans
Signe astrologique : Scorpion
Orientation sexuelle : La demoiselle est panromantique et pansexuelle. Elle n'aime pas un sexe mais une personne.
Origine(s) : Irlandaises mais elle possède la nationalité Japonaises.
Langue(s) parlée(s) : Anglais, Japonais et un peu de gaélique.

Crédit avatar : Lily Evans - Harry Potter && Elsa d'Arendelle - Frozen || Avatar graphique réalisé par Callie.




Classe & situation sociale : Haute ; Aisée
Profession : Moira est engagée dans la police. Umeko est une idole.
Casier judiciaire : Absolument vide.
Ancienneté : Sa naissance.



Quartier


Le quartier où vous désirez habiter à Mayaku :
Nord

Habitation : (A selectionné selon le quartier choisi)
Nord : Appartement

L'appartement de Moira à Mayaku ressemble à celui qu'elle avait à Tokyo. Elle y vit seule pourtant mais a garder l'habitude des deux chambres. Il est composé d'une grande pièce à vivre dans laquelle on décèle un salon, une salle à manger et une cuisine américaine chaque chambre à sa propre salle de bain privative et un bureau. Dans le sien, Moira à installé de quoi faire du sport : sac de boxe et tapis de course. La décoration est moderne mais chaleureuse malgré le peu de temps qu'elle passe dans cet appartement, Hayato à tout fait pour qu'elle s'y sente chez elle.


Physique

Moira est grande, elle frôle le mètre quatre-vingt avec aisance. Sa peau est pâle et parsemée de taches de rousseur qu’elle porte sur le visage mais également sur le décolleté et sur les épaules. Elle doit également en avoir un peu dans le dos mais elle ne peut pas trop le savoir. Ses yeux sont verts, toujours rieurs et, même lors d’un coup dur, elle garde un regard doux et tendre. Ses cheveux sont très longs, ils ondulent et bouclent assez facilement et leur couleur rousse les rends reconnaissable dans ce pays où ils ne sont finalement pas si nombreux que ça. Son nez est fin et remonte un peu en trompette à l’avant mais, c’est joli et elle aime bien. Ses lèvres sont également assez fines.
Elle est svelte, elle fait beaucoup de sport autant pour son métier de flic que de chanteuse. Sa poitrine est généreuse sans être exagérée : elle est une femme bien proportionnée. Vestimentairement parlant, Moira porte des jeans et des chemisiers. Elle est aussi friande de t-shirt avec des designs improbables. Mais, la plupart du temps, elle porte sa tenue de travail : un pantalon noir ou marron avec une chemise blanche et une veste assortie. Elle peut changer pour une veste en cuir qu’elle s’est offerte récemment.
Elle ne possède aucun tatouage ni piercing en dehors de ses oreilles auxquelles elle porte toujours deux perles qu’Hayato lui a offertes.

Umeko ressemble physiquement et morphologiquement à Moira. Mais c’est une blonde platine aux yeux bleus. Elle se donne une apparence plus froide, plus mystérieuse. Cela fait partie du personnage. Elle dissimule ses taches de rousseur sous une couche conséquente de fond de teint qui la fait paraître encore plus blanche. Sa tenue est généralement toujours la même : sa robe bleue et argentée. Mais elle peut également porter des jeans – chemisiers pour des plateaux télévisés.


Caractère

Le caractère de Moira est très facile à vivre. La jeune femme s’est bonifiée avec le temps et, si la peur de l’abandon est un trait particulièrement présent chez elle, elle le dissimule plutôt bien. Elle a hérité de sa mère son caractère fort et indépendant et de son père sa douceur et sa tendresse. Néanmoins, elle également prit chez eux son obstination et sa manière de se plonger avec passion dans un projet.

Moira est rarement triste ou en colère, généralement elle essaie d’apparaître cordiale même dans ces cas-là puis, elle explose en courant ou en boxant à domicile. Mais, il peut s’avérer que certaines personnes la pousse à bout auquel cas elle sait se faire froide et tranchante comme la glace.

Dans son travail, Moira se donne à fond. On pourrait la croire hyperactive mais il s’agit simplement de ne pas penser. Elle ne veut pas penser à la vie qu’elle aurait eue si son frère n’avait pas disparu, a ce qui se passerait si elle avouait ses sentiments à Hayato ou si elle allait parler à son père. Alors elle se plonge dans le travail pour ne pas penser à tout ça et se tenir occupée.

Moira n’est pas douée en relations humaines. Elle est gentille et joyeuse mais elle ne parvient pas à s’attacher aux gens puisqu’elle part du principe qu’ils s’éloigneront. Alors elle dresse directement une barrière entre elle et les gens. Il faut savoir apprendre à l’apprivoiser et, surtout, à être patient.

En soi, la jeune femme est quelqu’un qu’on aime voir parce qu’elle nous remonte le moral. Mais on ne la supporte pas lorsqu’elle est triste parce qu’elle nous rappelle que nous ne sommes pas heureux non plus. Alors on préfère la fuir plutôt que de l’approcher et de l’écouter. Moira est quelqu’un qui ne vous enverra jamais bouler, elle écoutera tout ce que vous avez à dire si vous avez besoin de vous confier. Mais elle ne se confiera pas à vous.


Histoire

Les cris, les larmes, les pleurs. La lumière aveuglante qui tourne et qui revient.
Une petite fille est assise sur les marches du perron, les cheveux roux retombent sur son visage hagard, les yeux figés dans le vide.

Autour d’elle, c’est l’agitation. Les hommes courent dans tous les sens, les radios grésillent, les chefs hurlent des ordres. « Cherchez dans la rivière, prenez des chiens, allez dans la forêt. »

Elle ne comprend tout ce qui se passe, elle sait que quelque chose est arrivé mais personne ne lui as expliqué. Alors elle attend. Elle attend que les larmes de sa mère se tarissent, que son père cesse de hurler sur ce policier. Elle attend qu’ils s’intéressent à elle. Elle attend que son frère rentre à la maison.

Mais son frère ne rentrera jamais.

Dix ans plus tôt. – 1983
- Tu es sûr que partir est nécessaire ? On pourrait élever nos enfants ici, en Irlande.
- Et comment ? Avec les bombes qui explosent à tous les coins de rue ? Je ne veux pas prendre le risque qu’ils grandissent comme nous, dans la peur du lendemain.

Finley était assis sur le lit, observant sa femme remplir d’énormes valises. Il retient un soupir et se passa une main sur la nuque en observant leur petit appartement. Il aimait cet endroit, ils y avaient formé un cocon avec son épouse. Et, s’il savait qu’elle était dans le vrai, il ne voulait pas quitter cet endroit. Siobhán s’arrêta un instant devant l’air  mélancolique de son époux. Elle eut un sourire triste et passa une main sur la joue de son homme.

- Ca va me manquer à moi aussi, tu sais. Mais cette entreprise t’as fait une belle offre et… c’est l’occasion de s’éloigner de tout ça. Mais, depuis notre rencontre ce pays plie sous les bombes de l’IRA. On a failli y passer tous les deux. Je ne veux pas risquer de perdre un de mes enfants sur le chemin de l’école, ou même qu’ils grandissent sans nous. Cillian est né le jour ou douze personnes ont perdus la vie à Belfast !
- Je sais, Sio. Je sais. Je vais ranger mes affaires.

Dans un sourire attristé, il embrasse la tempe de son épouse et quitte la chambre pour le bureau. Ca faisait sept années qu’ils étaient mariés. Onze qu’ils s’étaient rencontrés. Ils avaient passés leurs diplômes chacun de leurs côtés. Lui venait de Dublin, elle de Belfast. Ils s’étaient rencontrés par hasard.  Ils s’étaient apprivoisés, elle l’avait aimé, il l’avait épousée. Ils avaient attendu d’avoir leurs diplôme en poche pour ça, elle en droit international, lui en informatique appliquée. Ca faisait plusieurs années qu’ils hésitaient à quitter l’Irlande pour un pays moins exposé. Ils avaient pensé aux États-Unis, à la France et à l’Allemagne. Mais, par un heureux hasard, c’était un pays qu’ils pensaient inaccessible qui avait démarché Finley.

- Tu penses qu’il y a des animations pour les enfants dans les avions ? Il a quatre ans, j’ai peur qu’il nous tienne éveillé tout le vol.
- Arrête de paniquer, ça va aller. On le couchera aux mêmes horaires et ça ne posera pas de souci. Détend toi.

Le petit garçon était assis au sol, jouant avec des figurines de super-héros typiquement américain qui lui avaient été offert par le Père Noël de l’école la semaine passée.

Le lendemain matin, il est six heures quand ils prennent la route pour l’aéroport de Dublin. Bryan, le meilleur ami de Finley, les accompagne. Il leur a racheté leurs biens : voiture, appartement, mobilier. Il est antiquaire et brocanteur, il aime prendre soin de ce genre de chose. Et ça tombait bien, lui avait envie de déménager. L’avion décolle à neuf heure quarante, il se pose d’abord à Paris d’où ils prennent un vol direct pour Tokyo.
***
**
Neuf ans plus tôt. – 1984
Le poste de Finley lui plaît bien, il travaille dans un endroit agréable et est mis sur un projet qui devrait voir le jour dans une campagne japonaise. Il réussit à faire entrer Siobhán dans cette entreprise en tant que juriste de la société. Leurs salaires sont très intéressants et ils travaillent tous les deux ensembles. Ça leur plaît.

- Ca ne peut plus durer Finley, on doit faire quelque chose !
- De quoi tu parles, Sweetie ?
- Cillian.

Finley reposa le journal sur le bureau et observa son épouse au travers de ses petites lunettes carrées. Elle était figée devant lui, les poings serrés sur ses hanches, furieuse. Il réprima un sourire, la grossesse lui allait bien, elle était magnifique, même en colère.

- Qu’est-ce qui se passe ?
- Il est encore revenu couverts de bleus, Fin. Il n’a rien voulu dire mais je ne pense pas qu’il se batte.
- Non, ce n’est pas tellement son tempérament. Tu as essayé de parler à l’institutrice ?
- Elle s’en fiche, l’institutrice, Finley ! Elle laisse faire les enfants. Je suis sûre qu’il est stigmatisé parce que nous ne sommes pas japonais.
- C’est possible oui.

Elle se laissa tombée près de lui sur le canapé, posant sa tête contre son épaule. Il passa un bras autour de sa taille et embrassa le sommet de son crâne.

- Tu ne devrais pas te stresser, c’est mauvais pour le bébé.
- Je sais, mais je ne supporte pas de le voir si triste.

Finley posa sa tête contre celle de son épouse et caressa ses cheveux doucement.

- On va prendre rendez-vous avec la directrice de l’école.
- Elle est aussi raciste que les autres. Ca n’aura aucun effet.
- Que proposes-tu alors, Sio ?
- Qu’on parle à Cillian. Qu’on lui explique.
- On peut commencer par là. Et on pourra toujours le changer d’école si ça se passe mal.
- Oui.

Siobhán hocha un peu la tête et, le soir même, ils eurent une petite discussion avec leur fils. Cillian répondit par un grand sourire : ils ne devaient pas s’inquiéter il s’était fait un copain. Ils étaient toujours la cible des autres enfants mais, finalement, à deux ça rendait presque la chose amusante.

Il avait six ans lorsque sa sœur pointa le bout de son nez. Il n’assista pas à l’accouchement, il était resté à la maison avec une baby-sitter. Mais le lendemain matin, il fut le premier à pointer le bout de son nez dans la chambre de sa maman pour rencontrer sa petite sœur.

Moira ìde O’Callaghan.

Cillian ne compris pas tout de suite mais, lorsque son père lui apprit qu’elle allait vivre avec eux et qu’il allait falloir toujours la protéger. Le petit garçon hocha la tête et, à partir de cet instant il ne quitta plus sa sœur d’une semelle.
***
**
Six ans plus tôt. – 1984
Des pas précipités se firent entendre dans le couloir de la petite maison. Ils s’arrêtèrent, accompagnés de rires, et repartir dans l’autre sens. Incapable de travailler dans ces conditions, Siobhán quitta le petit bureau qu’ils avaient installé dans sa chambre et se rendit dans la chambre de sa fille. Elle était là, assise sur un tapis représentant un circuit automobile, jouant avec du matériel éducatif. Elle riait. Siobhán était d’abord venue pour la sermonnée mais, en voyant la petite fille rire ainsi, elle déposa un baiser sur son front. Elle réprimanda plutôt la nourrice qui était là pour s’occuper de sa fille et non la laisser sans surveillance. La jeune femme s’excusa platement et, dans la foulée, la porte d’entrée s’ouvrir à la volée et une tignasse rouquine passa devant sa mère pour aller prendre la petite fille dans ses bras. Cillian était rentré de l’école. Le petit garçon était maintenant âgé de neuf ans et il vouait à sa sœur un amour sans faille. Leur relation serait fusionnelle et ça rassurait beaucoup les deux parents qui avaient, tous les deux, eu des relations tendues avec leurs fratries.

- Cillian ! Tu ne dois pas t’en aller comme ça !
- C’est bon papa ! Je suis grand maintenant, je peux rentrer tout seul !
- Quand tu seras au collège, pas avant ! Maintenant tu vas faire tes devoirs.
- D’accord…

Le petit garçon embrassa sa sœur et rejoint sa chambre pour travailler.
Et ça avait été comme ça entre eux dès le premier jour. Cillian avait dormit pendant des mois dans la chambre de sa petit sœur jusqu’à sa mère le lui interdise. Il avait été triste et avait boudé pendant des semaines mais il avait fini par comprendre.

Moira avait toujours été un bébé très joyeux. Elle n’était pas calme, elle aimait qu’on lui prête attention. Mais elle ne pleurait jamais. Cillian quant à lui, continuait d’évoluer. Son ami avait déménagé mais il avait rencontré d’autres enfants. Il était toujours joyeux en public mais il déprimait parfois, seul dans sa chambre. C’est pour ça qu’il finissait souvent avec sa sœur en pleine nuit.

Les mois passent et ne se ressemble pas, Moira grandit dans un cocon chaleureux et aimant, à l’image de celui que son frère. Très vite, on lui découvre un intérêt particulier pour la musique. Sa maman l’inscrit à des cours des chants à l’époque où elle rentre en première année d’école primaire. Elle était le portrait de sa mère physiquement. Sa peau de porcelaine mouchetée de taches de rousseur était rehaussée par la couleur émeraude de ses yeux et la rousseur de ses cheveux. Elle avait toujours le sourire aux lèvres, même quand les enfants du voisinage l’embêtaient. En plus d’être belle comme un cœur, elle avait la qualité principale d’être adorable. Elle souriait perpétuellement, son rire résonnait entre les murs de la maison et elle courait partout. Elle n’était pas hyperactive, juste une enfant qui croquait dans la vie à pleine dent. Et la nourriture aussi. Moira était une petite fille ronde, ce n’était pas gênant lorsqu’elle était enfant, mais très vite ses parents durent faire attention à son alimentation sur les conseils d’un médecin et l’enfant appris à avoir une alimentation plus raisonnable et plus équilibrée.

Cillian, quant à lui, entre au collège. Il ne s’est pas refait d’ami depuis le déménagement de son ami d’enfance. Pourtant, en arrivant dans sa classe, il remarque un petit groupe. Ils sont quatre, ils discutent vivement. Cillian les envie, lui aussi il aimerait avoir des amis fidèles. Le leader de ce petit groupe le remarque finalement, il l’approche. Il s’appelle Hayato Moriyama, il est plus vieux de deux ans, sa maman ayant eu quelques importants soucis de santé, Hayato s’est vu obligé de redoubler une classe, se retrouvant une année au-dessus de celle de Cillian. Mais tout ce que les autres voient, c’est un garçon qui a redoublé. Sio n’aime pas trop cet enfant mais elle ne dit rien, Cillian est heureux, c’est tout ce qui compte. Elle surveille les enfants de loin, quand Hayato et sa petite bande sont chez elle, Moira joue avec eux. Joyeusement. Il y a des larmes, des cris parfois, comme avec tous les enfants, mais rien d’extraordinaire.
***
**
Quatre ans plus tôt. – 1984
Ses enfants allant régulièrement à l’école, Siobhán décide qu’il est plus que temps de reprendre à travailler. C’est une femme forte et indépendante, elle a toujours voulu avoir une carrière et une famille. Elle reprend alors les recherches pour trouver un emploi de juriste. L’entreprise l’avait licencié lorsqu’elle avait voulu prendre un congé maternité, les japonais ne sont pas aussi coulants que certains pays européens à ce sujet. Une femme est faite pour enfanter et tenir un foyer et non pour travailler.

Après une année très difficile, elle finit par obtenir gain de cause, elle décroche un poste de juriste dans une petite société de publicité. Le job est moins prestigieux que son ancien travail mais ça lui plaît, ça lui permet de reprendre une activité professionnelle.

Finley, quant à lui, excelle dans son métier. Il a été promû à une place importante, il gère une équipe entière et passe énormément de temps au bureau. Il est, pourtant, toujours présent pour sa famille.

C’est pour ça que le drame qui se produisit dix années après leur arrivée sur le sol japonais n’était pas prévisible. Finley et Siobhán n’étaient pas de mauvais parents qui délaissaient leurs enfants, au contraire. Il leur donnait une bonne éducation, de bonnes chances de réussir dans la vie.

Cillian s’en sortait très bien dans les matières scientifiques. Il voulait devenir médecin, du moins lorsqu’il entra au lycée c’était son but.
Moira, quant à elle, était une enfant plus pratique et logique que réellement théorique. Tant et si bien que les leçons avaient du mal à entrer dans sa tête mais elle travaillait pour y parvenir. Malgré tous, ses cours de chants lui plaisaient beaucoup plus que ses cours de mathématiques ou de littérature. D’ailleurs, à ses neuf ans, elle fut remarquée par un manager qui lui proposa de faire une petite chanson dans une publicité d’un jouet pour enfant. Sa mère refusa de la mettre sous le feu des projecteurs si jeune mais, elle aurait pu commencer une carrière dans le show business très jeune.

Mais tout s’arrêta ce triste jour de mai 1993.
L’agitation autour de la maison des O’Callaghan s’était étendue jusqu’à tard dans la nuit. Finley et Siobhán n’avaient pas fermé l’œil de la nuit, arpentant le plancher de la cuisine dans tous les sens imaginables. Mais, Moira avait diné et s’était couchée à l’heure pour aller à l’école le lendemain. Quand elle quitta sa chambre le matin, le calme était revenu mais la tension restait palpable. Elle rejoint la cuisine, s’attendant à voir son petit-déjeuner prêt. Pourtant, seule une cafetière à moitié vide demeurait sur la table. Sa mère était installée dans un fauteuil, endormie, et son père n’était plus dans la maison, s’étant rendu directement au commissariat pour voir ce qu’il en était.

Moira ne comprenait pas réellement ce qu’il se passait. Elle décida de ne pas réveiller sa maman et se contenta de prendre un paquet de biscuit, de boire un peu de lait et de prendre de l’argent dans le « pot d’urgence » pour son déjeuner le midi. Puis elle se mit en chemin pour aller à l’école, le même chemin qu’elle empruntait tous les matins. Pourtant, à peine arrivée à la moitié, elle croisa la voiture de sa mère. Siobhán s’était réveillée en sursaut après le départ de la petite. Elle l’avait cherché dans toute la maison avant de se dire qu’elle était peut-être partie à l’école. Sio se gara sur le trottoir et attrapa sa fille dans ses bras avec force. Elle ne pleurait pas mais on pouvait clairement sentir sa frayeur dans sa voix, dans ses gestes.

- Pourquoi es-tu partie sans rien dire Moira ! Ça ne va pas la tête ?
- Mais, maman… Tu dormais, j’allais être en retard pour l’école…
- Tu aurais dû me réveiller. Ne fais plus jamais ça, Moira. Tu m’entends ? Jamais !

Moira senti les larmes lui monter aux yeux. Elle comprenait que quelque chose n’allait pas mais elle ne comprenait pas quoi. Personne ne lui expliquait, personne ne s’intéressait à elle. Siobhán décida d’accompagner sa fille à l’école, elle devait vivre normalement. Le soir, à table, un silence de mort pesait sur l’assemblée.

- Maman, ou il est Cici ?

Moira se figea, Finley observa sa fille d’un regard blessé. Ils réalisèrent à ce moment-là qu’ils avaient oublié Moira depuis les événements de la veille. Pour la première fois, les larmes montèrent à Siobhán qui prit sa fille dans ses bras.

- Cillian, ton grand-frère, il a disparu ma chérie. On ne sait pas où il est.
- Mais il va rentrer, hein ?
- On ne sait pas chérie…

Moira secoua la tête et haussa les épaules.

- Mais on est une famille, il reviendra forcément.

Ses parents n’eurent pas à cœur de la contredire, ils espéraient dur comme fer qu’elle disait vrai.
***
**
Hayato était un japonais pur-souche. Il avait toujours vécu à Mayaku depuis sa naissance. Il était plutôt grand pour son âge, les cheveux très noirs, un peu long, et les yeux bruns. Il pratiquait la natation deux fois par semaine pour s’amuser et prenait des cours de piano, bien qu’il préférait jouer de la guitare. Il avait rencontré Cillian alors que ce dernier était malmené par un groupe d’adolescents plus âgés. Lui et ses amis l’avaient aidé et ils l’avaient intégré à leur petit groupe. Hayato adorait littéralement Cillian, ils étaient devenus les meilleurs amis du monde.

Hayato aimait la musique depuis sa plus tendre enfance. Déjà au jardin d’enfants, il chantait et tapait sur des objets pour créer des rythmes qui lui plaisaient. Il fit alors découvrir son univers à Cilian. Ses passions, ses envies. Naturellement, il dirigeait vers une carrière dans le monde du spectacle qui ne plaisait guère à sa famille. Mais il s’en fichait, il voulait atteindre son rêve.
Cilian plongea dedans les deux pieds en avant, commençant à apprendre la guitare à la maison, devant des revues pour débutant et, surtout, devant sa cadette qui applaudissait tout ce qu'il faisait. Cilian adorait sa sœur, de tout son cœur. Et même si, avec l’adolescence, il commençait à s’éloigner, il restait disponible dès qu’elle avait besoin de lui.
Ils montèrent un groupe avec Hayato, au début de sa quinzième année. Un groupe de pop-rock. Hayato enseignait la guitare à Cilian pendant que lui était au clavier et au chant.

La semaine suivant la disparition de Cilian, Hayato vint frapper à la porte des O’Callaghan. Il avait les yeux rougis par les pleurs et le visage sombre. Il avait dix-sept ans, ce jour-là, ses larges épaules étaient affaissées et, malgré sa grande taille, il semblait aussi petit qu’un enfant. Lorsque Siobhán le vit sur le pas de la porte, elle ne sut d’abord quoi penser.

- C’est ma faute, je suis tellement désolé O’Callaghan-san. Je lui ai dit qu’il louperait un truc de malade s’il ne venait pas mais… Je ne pensais pas qu’il arriverait quelque chose, je suis désolé, je ne voulais pas.

Sio sentit son cœur se serrer. Cet enfant souffrait autant qu’eux de la perte de son ami et, en plus, il se sentait coupable. La police leur avait raconté l’entrevue qu’ils avaient eue avec les amis de leur fils. Moira lui avait interdit de sortir ce soir-là, il y avait école le lendemain et un festival n’était pas important. Alors, pour rejoindre ses amis, il avait fait le mur. Et il n’était jamais revenu.

- Entre, Hayato-kun. Ne reste pas sous la pluie.

Elle lui offrit un faible sourire qui marqua le début d’une relation de confiance extrême entre cette mère et ce jeune garçon. Moira se jeta dans les bras d’Hayato lorsqu’elle l’aperçu. Elle était toujours un peu perdue face à tout ça. Et finalement, celui qui finit par trouver les mots pour la guider, ce fut Hayato. Il lui expliqua que Cillian avait disparu, que les chances qu’il revienne étaient mince mais qu’il ne fallait jamais cesser d’y croire.

- Il est mort ?
- Non Moira, je ne pense pas qu’il soit mort. On le sentirait si c’était le cas, tu ne crois pas ?
- Oui ! Il est vivant, je le sais !

Mais Moira pleura dans les bras du plus vieux ce soir-là. Parce qu’elle comprit finalement que quelque chose de très grave était arrivé et qu’elle ne pourrait plus voir son frère.

Moira avait neuf ans ce jour-là. Son adolescence lui fut volée.
***
**
Après ça, rien ne fut plus pareil.

Finley, blessé et meurtrit, ne savait comment gérer sa perte. Il ne cessait d’en vouloir au monde entier, Sio et Hayato en première ligne, Moira par la suite, la police, les administrations… Tout le monde y passait. Alors, il se réfugia dans son travail. Il ne rentrait plus que rarement ou tard dans la nuit, évitant ainsi le contact avec sa famille au grand damne de sa fille à qui il manquait terriblement. Moira avait déjà perdu son grand-frère, elle avait besoin de son papa.

Siobhán, quant à elle, cessa toute activité professionnelle pour plusieurs raisons. La première était le regard des gens dans la rue. Les mauvaises nouvelles vont vite, on avait fini par l’accuser de ne pas prendre suffisamment soin de sa famille de privilégier son travail à son devoir d’épouse et de mère. Elle ne supportait pas ce genre de commentaires. Et puis, elle voulait mettre son temps à profit pour chercher son fils dans tout le pays. Elle rassemblait les preuves, les profils de criminels autour d’eux, elle cherchait sans s’arrêter une preuve que son fils était vivant.

Et Moira, dans tout ça ? Elle continuait de tenter de vivre. Hayato s’occupait beaucoup d’elle sur la demande de sa mère. Il s’occupait de ses devoirs, de ses repas, de la coucher et de la surveiller. Sio le payait pour ça mais il mettait tout cet argent sur  un compte qu’il dédiait à la jeune femme. On lui avait volé son enfance, un peu d’argent ne résoudrait rien mais ça pourrait l’aider, un jour, à démarrer dans la vie.

Après la disparition de Cillian, Moira du arrêter le chant. Sa mère n’avait plus confiance pour la laisser seule. Alors, pendant quatre ans, elle ne chanta plus. A ce moment-là, elle est malheureuse à en pleurer. En perdant un frère, elle aura perdu toute sa famille, littéralement. Elle est seule, elle se sent abandonnée et elle ne sait plus quoi faire. Alors, un soir ou, miraculeusement, tout le monde est à la maison, elle craque.

- Mais de toute façon, depuis que Cillian a disparu, il n’y en a plus que pour lui ! Moi je n’ai aucune importance, vous vous en fichez de ce que je peux devenir ! J’en ai marre de vous, je vous déteste !

Après avoir laissé sortir ces mots sous l’effet de la colère, elle quitta la maison en claquant la porte et en courant. Elle courut à n’en plus pouvoir pour rejoindre l’appartement d’Hayato. Ce dernier était récemment entré à l’université dans un cursus artistique et il avait loué un tout petit appartement typiquement japonais composé d’une unique pièce à vivre. Quand il ouvrit la porte, il eut l’air surpris. La jeune femme était trempée et en larme. Il la fit entrer.

- Excuse-moi de venir à l’improviste.
- Arrête Moira, tu seras toujours la bienvenue. Mais qu’est-ce qui t’arrive ?
- Je… J’ai… J’en ai marre. Marre de ne plus avoir de famille.

Des sanglots l’étranglèrent et Hayato soupira. Il posa une serviette sur sa tête et, doucement, il entreprit de lui sécher les cheveux. Il alla ensuite chercher des vêtements secs et en profita pour prévenir Siobhán de la présence de sa fille chez lui.

- Je sais que c’est difficile, tu sais.
- Non tu ne sais pas ! Personne ne s’occupe de moi, tout le monde s’en fiche !
- Ce n’est pas vrai, et tu le sais très bien. Tes parents sont simplement aussi tristes et perdus que toi.

Il lui tendit un mouchoir. Elle sécha ses larmes et se moucha avant de soupirer. Il lui tendit les vêtements et, pendant qu’il préparait du thé, elle se changea.

C’est ce jour-là que sa vision d’Hayato changea. Il n’était plus « l’ami de son frère », il était son ami à elle. Et puis, il fallait avouer qu’il était plutôt mignon et qu’il était gentil avec elle. Elle avait quatorze ans et elle commençait à sentir ses hormones lui jouer des tours. Elle passait de plus en plus de temps avec l’étudiant qui l’encouragea à reprendre le chant. Peut-être que, s’il l’entendait chanter, Cillian reviendrait après tout ?

Alors Moira recommença à prendre des cours de chant avant d’entrer au collège. Très vite, elle fut remarquée de nouveau par une agence de jeunes talents. Elle demanda à sa mère de signer le papier, elle n’avait pas envie d’une permission. Voilà quelque chose qu’elle aimait faire et qui lui permettait de se sentir proche de son frère. Si le premier soir, Siobhán refusa, Hayato su trouver les mots puisqu’elle signa les papiers le lendemain.

Moira posa les conditions de son contrat : Elle ne voulait pas être reconnue dans la rue et elle ne voulait ni qu’on fouille dans son passé ni qu’on traque sa famille. Et elle voulait finir le lycée et avoir un métier, une sorte de plan B. Son agent accepta et lui donna une semaine pour trouver un pseudonyme. C’est Hayato qui la baptisa : Umeko Kanno. Il s’était servi de la saison pour le prénom, il s’agissait de la saison des prunes et, comme Moira était une fleur prête à éclore, il trouvait ce nom approprié. Pour « Kanno », il avait simplement pensé à la tenue de scène de la jeune femme.

C’est ainsi que naquit l’idol Umeko Kanno, autour d’un yakiniku.
***
**
Dans les bacs, Umeko faisait un carton.
La jeune femme touchait un public large allant des enfants aux parents en passant par les adolescents. Ses chansons mélangeaient à merveilles anglais et japonais. Elle passait sur beaucoup de plateaux télévisés, était demandée pour des rôles à la télévision. Mais, en dehors de son agent et de sa famille, personne ne connaissait sa véritable identité. Sio avait peur que le succès monte à la tête de sa fille mais il n’en fut rien. Moira resta cette enfant douce et tendre qu’elle avait toujours été.

Si, de base, Moira ne faisait – physiquement – pas très japonaise, la tenue et le maquillage d’Umeko ne faisait que renforcé cette image. Très pâle, elle portait une longue perruque aussi blonde que les blés et des lentilles d’un bleu perçant. La robe, une longue tenue bleu cyan et argentée, lui donnait également un air plus mature. Mais ça n’avait pas l’air de gêner les japonais que la jeune femme n’ai pas l’air de leur pays : sa musique était bonne. Et c’était ce qui comptait.  

En parallèles, Moira continuait de suivre ses cours. Elle n’était pas particulièrement brillante à l’école, contrairement à Cillian, mais elle s’accrochait. Elle passa son diplôme de fin de lycée de justesse et elle finit par apprendre à ses parents et à Hayato qu’elle voulait entrer dans l’école de police. Personne ne comprit. Elle était une chanteuse célèbre et épanouie. Mais elle voulait avoir un « vrai métier ». Faire autre chose pour ne pas finir dégoûter de son métier. Avoir une échappatoire. Et puis, la notoriété et le succès sont des choses tellement éphémères qu’il faut en prendre soin et avoir une porte de sortie. Alors,  à la sortie du lycée, elle intégra l’école de police de Tokyo. Hayato fut mandaté par sa mère pour accompagner la jeune femme et ils louèrent un appartement ou ils s’installèrent tous les deux pendant trois ans. Ca fit également le bonheur de son producteur qui affirmait à qui voulait l’entendre que Tokyo était un lieu plus facile à exploiter pour devenir star. Mais ça n’avait jamais empêché Moira de percer avant.

L’appartement qu’ils avaient loué était plutôt spacieux, pris en compte à 50% par l’agence de Umeko. Un immense salon, deux chambres, deux salles de bain, une cuisine américaine et un petit bureau. Hayato avait bénéficié d’un transfert dans une université amie qui l’aiderait à finir ses deux années en master de communication. En voyant travailler le manager d’Umeko, il avait adoré ce métier et avait subi une réorientation en seconde année de mécanique. Il avait eu quelques difficultés mais il s’était défoncé pour y arriver. Son but était d’entrer dans l’entreprise d’Umeko et de finir par s’occuper de sa carrière.

Sa passion nouvelle pour la police n’était due qu’à la disparition de son frère. Elle ne perdait pas espoir de le voir revenir un jour et voulait à tout prix le revoir. Alors elle mettait tout ce qui était en son pouvoir pour y parvenir. Si Moira n’avait pas la possibilité d’avoir de vacances, Hayato rentrait souvent à Mayaku pour aider Siobhán à chercher Cillian.

Après avoir obtenu son diplôme, Moira rentra à Mayaku avec Hayato et son agent. Hayato avait eu son diplôme l’année précédente et Moira l’avait fait entrer en tant qu’assistant manager dans sa boîte. Il veillait toujours sur elle, même maintenant. Elle, elle était toujours amoureuse de lui. Hayato fut son premier et seul amour. Mais elle n’avait jamais osé lui avouer ses sentiments, elle avait peur qu’il la pense trop jeune, ou qu’il ne voit en elle que la sœur de Cillian. Alors elle ne disait rien, gardant précieusement ses sentiments pour elle.

A Mayaku, elle intégra la police au rang le plus bas. Elle travailla très dur, mettant entre parenthèse une petite année sa carrière de chanteuse. Elle ne fit plus qu’un plateau télévisé par moi pour parvenir à gravir un petit peu les échelons. Travailleuse acharnée, et par manque de musique, elle revient sur les devants de la scène. Elle fit une tournée japonaise pendant ses vacances et revient ensuite à Mayaku pour travailler sans relâche.

C’est cette soif de boulot qui la propulsa au niveau où elle se situe actuellement.
Evidemment, avant de rejoindre l’école de police, Moira avait demandé la nationalité japonaise qu’on lui avait finalement accordée grâce à sa participation au développement culturel du pays et après étude minutieuse de son dossier.

Après six années passées au grade de lieutenant de police, la jeune femme se vit promus au rang de Capitaine de la police. Ses états de service étant impeccable, elle était sûre de mériter cette promotion. Ca la laissait un peu moins sur le terrain mais elle restait présente. Elle pourrait faire des recherches sur son frère, travailler et chanter en même temps. Et même si elle essayer de dormir bien ses huit heures par nuit pour ne pas s’écrouler, certaines périodes de l’année se révélaient compliquées. Mais elle s’en sortait toujours. Parce qu’Hayato était à ses côtés et qu’il s’occupait d’elle merveilleusement bien.

Animal


Moira n'a aucun animal pour la simple et bonne raison qu'elle n'aurait pas le temps de s'en occuper alors elle préfère éviter d'imposer un appartement vide à une bête.
Dreiden M. Ijiwaru
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Such a pretty boy, but such a dirty mouth.
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Lun 4 Jan - 18:20

    Bienvenue encore Moira ! ♥

    Merci d'avoir patienté jusqu'à la fin de la maintenance. J'espère que tu sauras t'y retrouver sur Mayaku, mais tu sais que tu peux compter sur l'équipe si tu as la moindre question. ;)

    Au plaisir de voir ta fiche terminée !
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Sam 2 Juil - 3:38

Je vous annonce avec fierté que j'ai - enfin - terminé la fiche de Moira.
J'espère qu'elle vous conviendra et que ce personnage vous plaira =)
Merci encore d'avoir patienté !
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Dim 3 Juil - 16:43


Contente de voir cette fiche terminée et de pouvoir enfin découvrir ces deux personnages bien distinct qui risquent d'être intéressants à jouer pour toi ! \o/

J'ai repéré une petite erreur. Lorsque Moira se rend seule à l'école après la disparition de son frère, tu dis que Sio la retrouve en voiture et zoup, petit accrochage : "Moira se gara sur le trottoir et attrapa sa fille dans ses bras avec force.".

Tu dis que Moira est d'origines irlandaises et japonaises, mais à ce que je comprends, elle est Irlandaise de souche mais a la nationalité japonaise. Il te faudra donc rapidement modifier ce point dans la partie Identité du personnage. :)

Une petite précision quant à l'image 100*100 de Karen Gillian que tu utilises. Il me semble que c'est une photo non ? Ou en tous cas une image réelle ? Ce type d'image n'est pas accepté sur le fofo. Il te faudra en changer, désolée ...
(Et si c'est juste une création digitale ultra réalise, je mea culpa grandement, héhé xD)

Voili voilou, je te laisse travailler sur ces points avant de valider le perso ! \o/
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Dim 3 Juil - 17:18

Sorry pour les p'tites choses, tout est modifié.
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Lun 4 Juil - 0:19

Tout est parfait ! \o/

Quartier Nord


Dans nos rues, Moira ì. O'Callaghan, tu viens de faire ton ascension. On raconte que tu vis au quartier Nord. Il ne te reste plus qu'à te dévoiler un peu plus si ce n'est pas déjà fait, mais surtout construire tes relations, te rendre joignable, te faire une place dans nos ruelles puis aller à la rencontre des habitants de la ville.



Tu connais déjà la maison, je te laisse donc vagabonder en paix sans plus attendre ! Des poutouilles, mumuse-toi bien avec ce perso \o/
Dreiden M. Ijiwaru
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Lun 4 Juil - 18:40

Once again, bienvenue Moira ♥ !

Contente de voir ta présentation terminée. J’ai pris plaisir à la lire. L’histoire est bien écrite, on en sent de la profondeur parce qu’elle n’est pas simplement retranscrite. Elle est aussi recherchée. Les personnages sont prenants, on est avec Moira tout au long des évènements.

J’aime l’idée d’être chanteuse et policière. Ça va faire du bien à Mayaku d’avoir des concerts en ville. Musicalement parlant, d’ailleurs, quel style elle chante ? Si c’est du rock tu m’auras à tes prochaines tournées. :p

Rien d’autre à ajouter. Amuses-toi bien ! :)
Invité
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Lun 4 Juil - 18:50

Eeeh non, pas trop de rock. Ce sera plutôt de la pop, de la musique d'idol japonaise au début et puis de la variété par la suite. Un peu de pop rock peut être mais je pense pas qu'elle fasse réellement de rock, navrée uwu

Merci ♥
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